Mercredi 21 février à 20h00
Tout Public – Durée : 2h00 – Tarifs : de 3.50€ / 8.80€ / 13.20€ / 16.20€
JAZZ / POP /SLAM
Llimace fait de la musique avec sa voix, son corps (en tapant dessus) et des fois des instruments. Ses textes, chantés, rythmés ou slamés abordent des thèmes de l’ordre du politique autant que de l’intime. Llimace n’aime pas se ranger dans un style musical.
Dans son solo éponyme, principalement a cappella sur Looper, ol* parle de féminisme, d’homophobie, de transphobie, questionne la « folie ». Improvisataire*, Llimace intègre ses délires timbrés à son propos, dans la lignée des chanteur·euses de jazz.
Dans son solo éponyme, principalement a cappella sur Looper, ol* parle de féminisme, d’homophobie, de transphobie, questionne la « folie ». Improvisataire*, Llimace intègre ses délires timbrés à son propos, dans la lignée des chanteur·euses de jazz.
* néologismes neutres correspondant à une identité de genre non-binaire
ROCK / POP
Tokoto ? Le nouvel album de Bancal Chéri, serait-ce du football ? Hum, peut-être… Mais non. Du Fluxus, Lettrisme, Dadaïsme, voilà qui est bien plus plausible. Les quatre têtes se composent de personnalités fortes qui s’imbriquent en harmonie. Dimoné, chanteur de folk, arpente Les Faunes noctambules des salles de concert depuis les années 90. Mathias Imbert, contrebassiste en solo depuis 15 ans, plébiscité pour son projet Imbert Imbert et ses écarts de sons. Nicolas Jules, romantique chanteur au syndrome de Peter Pan, s’envole aussi bien des planches des théâtres que de celles des premières parties prestigieuses d’Higelin, Nougaro ou de Dominique A. Et puis, il y a Roland Bourbon, couteau suisse de la création du spectacle vivant. Percussionniste, compositeur, directeur artistique de son opéra rock, une odyssée de 2001.