D’Alexandra Badea
THÉÂTRE
Vendredi 10 mars à 10h00 – 14h15
– uniquement en représentations scolaires –

Questionnant l’état d’adolescence et s’adressant particulièrement à cet âge de « l’entre-deux », le spectacle parle aussi à chacun d’entre nous et pose la question universelle de notre rôle dans le monde.
Déa, jeune fille interrogée par un commissaire, raconte l’histoire qu’elle vient de traverser. Lors d’une fête, elle rencontre Enis, qui rêve d’aller en Angleterre.
Enis est un jeune garçon en fuite ; son pays est en guerre. Déa veut le connaître. En découvrant peu à peu sa réalité et ses espoirs, elle décrypte en même temps les absurdités d’un système contradictoire. Déa s’insurge. Elle nous livre les émotions de sa rencontre avec Enis, nous livre ses rêves et ce sont de nouvelles frontières intérieures qui s’ouvrent.
Déa se cherche, cherche à découvrir le monde ; elle est proche d’elle même ; c’est peut-être cela qui l’a poussé à désobéir aux lois… Celle qui regarde le monde convoque les matières et les figures du théâtre d’ombres pour montrer ce que perçoit Déa des normes aléatoires du système ; pour donner corps aux espoirs et aux rêves des personnages, pour tenter de les aider à trouver une place dans le monde.
Enis est un jeune garçon en fuite ; son pays est en guerre. Déa veut le connaître. En découvrant peu à peu sa réalité et ses espoirs, elle décrypte en même temps les absurdités d’un système contradictoire. Déa s’insurge. Elle nous livre les émotions de sa rencontre avec Enis, nous livre ses rêves et ce sont de nouvelles frontières intérieures qui s’ouvrent.
Déa se cherche, cherche à découvrir le monde ; elle est proche d’elle même ; c’est peut-être cela qui l’a poussé à désobéir aux lois… Celle qui regarde le monde convoque les matières et les figures du théâtre d’ombres pour montrer ce que perçoit Déa des normes aléatoires du système ; pour donner corps aux espoirs et aux rêves des personnages, pour tenter de les aider à trouver une place dans le monde.